Entretien avec la chargée de communication événementielle de la DGE

Pouvez-vous décrire votre poste et ses enjeux ?

Mon travail consiste à organiser et promouvoir les événements internes et externes de la DGE : aide à la définition des besoins en fonction de l’événement, gestion et mise en place des aspects logistiques (save the date, invitations, formulaire d’inscription en ligne, réservation des prestations, etc.), coordination générale de l’événement.

Qu’avez-vous fait comme parcours (études et métiers) et quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Après une licence économique et une licence de communication politique et publique, j’ai travaillé en tant qu’attachée de presse en région, au sein d’un service du Ministère de l’Économie qui aujourd’hui n’existe plus, puis à Bercy [siège du Ministère, ndlr]. Je suis ensuite devenue chargée de communication éditoriale à la DGCIS [l’ancienne DGE, ndlr], puis j’ai repris mes études en faisant un master de communication politique et publique.

Fonctionnaire (de catégorie B, c’est-à dire secrétaire administrative) depuis un an, je suis devenue chargée de communication événementielle. Je souhaite passer le concours de catégorie A (attachée d’administration) ;  quand je l’aurai, je devrai certainement changer de poste dans les mois qui suivent, ce qui signifie que ce poste en sera pas forcément en lien avec la communication. Mais j’espère rester dans un poste transversal (communication, formation, RH, etc.).

Qu’est-ce qui vous plait dans votre travail ? Qu’est-ce qui vous déplait ?

J’apprécie la diversité des missions, le contact humain et la réactivité exigée pour ce poste. Il faut cependant faire attention à ce que cette diversité ne porte pas préjudice à la concentration. C’est un poste polyvalent où il faut savoir s’adapter et être rigoureux, il faut garder son sang-froid.

Pour finir, avez-vous un petit conseil à donner aux étudiants en communication ?

Les métiers de la communication sont des métiers sérieux loin de la réputation qu’ils peuvent avoir. Il faut cultiver la polyvalence tant dans le savoir-faire que dans l’ouverture d’esprit.

Mégane

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