A seulement 25 ans, Yseult Debièvre a déjà un parcours professionnel très prometteur grâce aux expériences d’alternance du Master Communication et Promotion des Organisations (CPO) de Nanterre.

Avec un prénom si évocateur d’un célèbre roman, Yseult ne pouvait commencer ses études supérieures autrement que par une prépa littéraire ! Après une hypokhâgne puis une Khâgne, elle a rejoint les bancs de la fac de Nanterre en L3 pour obtenir une licence Humanités et Industries Créatives – Information et Communication. Puis, elle a enchaîné avec un Master Communication et Promotion des organisations qu’elle a terminé en juin 2016.

Après cette formation, Yseult a décidé d’entrer dans le monde du travail … Mais pas trop vite tout de même … Une petite année de congé sabbatique pour dire adieu à la vie étudiante et emmagasiner l’énergie nécessaire à cette nouvelle vie. L’idée était de prendre un peu de repos, un peu de recul et de réfléchir à ce que, professionnellement, elle avait envie de faire et de ne pas faire.

Mais le monde du travail ne lui était pas étranger et elle ne s’engageait pas vers l’inconnu. Elle a réalisé deux contrats d’alternance pendant son Master. En M1, elle était Community Manager chez Fedrigoni France puis en M2 elle était Chargée de com éditoriale et managériale chez Enedis (ex ERDF).

Oui, trois fois oui à l’alternance !

L’alternance est une formule qui lui a plu … et c’est même un euphémisme ! Yseult, est totalement convaincue de l’importance des contrats en alternance pendant le Master et elle conseille haut et fort de les privilégier aux stages. Elle est intarissable pour vanter leurs mérites :

Pour elle, l’expérience est vraiment enrichissante, elle offre un plus sur le CV et contrairement aux idées reçues, il est très simple de décrocher une alternance. « Les grandes entreprises en proposent à la pelle, on y est bien reçu, bien formé et on nous confie généralement plus de responsabilités car le statut est davantage pris au sérieux au sein des entreprises que celui d’un stagiaire. Avec ce type de contrat, on est sûrs de ne pas subir le fameux cliché « café/photocopieuse » dont se plaignent souvent les stagiaires ».

Et ce n’est pas tout, elle ajoute que financièrement parlant, l’étudiant a aussi tout à y gagner car il est mieux payé en contrat d’alternance que pour un stage et, la cerise sur le gâteau, il peut toucher de « chouettes allocations de chômage » à l’issue de sa période de formation, ce qui lui permet d’entamer la période de recherche de travail plus sereinement !
Bref, Yseult est une convaincue des contrats d’alternance !

« Faites marcher votre réseau ! »

Le groupe Facebook de sa promo est resté actif, il s’y partage même parfois des offres d’emploi. Tout aussi convaincue que pour l’alternance, Yseult croit dur comme fer à l’importance du réseautage, tant les réseaux virtuels que réels. « Faites marcher votre réseau ! J’ai d’ailleurs trouvé mon 2ème contrat d’alternance, en M2, grâce à une étudiante de ma promo, qui y travaillait déjà en M1 ».

Aujourd’hui, un super CDI

Deux ans après la fin de son Master, Yseult a décroché un CDI comme chef de projet junior dans une agence de communication digitale. Ses missions consistent notamment à définir, réaliser et suivre des projets éditoriaux et digitaux.

Avant cela, elle a été rédactrice web en CDD chez Papernest, une jeune startup française qui propose un service gratuit d’aide aux démarches administratives pénibles en cas de déménagement. Ce job était totalement à l’opposé de celui qu’elle exerce maintenant. En effet, sa tâche consistait à écrire le plus d’articles possibles par jour pour optimiser le référencement naturel de leurs sites web (le SEO est destiné à plaire aux moteurs de recherche et non au lecteur) … tout l’inverse du contenu intelligent qu’elle réalise aujourd’hui !

Son mot de la fin : « Vous verrez, ce Master offre réellement de belles opportunités professionnelles ! ».

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Paul, octobre 2018