Amaïa, la globe-trotteuse du master HIC CPO

De Bordeaux, passant par le Québec pour arriver au master Humanités et industries créatives parcours communication et promotions des organisations en 2019-2020. Découvrez l’interview d’Amaïa.

Photo de l'étudiante Amaïa du master HIC CPO
crédit photo : Amaïa Gongorza

[Claire-ange] Quel est ton cursus antérieur ? 

[Amaïa] Après avoir passé mon bac littéraire à Saint-Jean-de-Luz, j’ai fait une licence en culture humaniste et scientifique à l’université de Bordeaux. Tomber sur une formation pluridisciplinaire avec autant d’arts, de sciences, de lettres et de langues fut très enrichissant. Mais cette licence fut peu professionnalisante et peu spécialisante. En troisième année je suis partis six mois au Canada pour faire un certificat en art visuel. J’ai pris exclusivement des matières pratiques et j’ai commencé à manier des logiciels de montage. J’ai notamment intégré un journal étudiant qui m’a donné envie de me diriger vers la communication et plus particulièrement la communication numérique puisque le digitale m’intéresse fortement. Étant adolescente j’ai passé énormément de temps sur internet, c’est un monde qui ne m’est pas inconnu et qui me correspond.

[Claire-ange] Est-il mieux d’être étudiant au Canada ? 

[Amaïa] Lorsqu’on est étudiant au Canada on est beaucoup plus serein qu’en France, car la pédagogie n’est pas la même. On est en petit groupe, et le rapport avec les enseignants est différent. On ressent moins la hiérarchie qui existe en France, de ce fait on est plus serein en cours. Les emplois du temps sont assez allégés car la majorité des étudiants canadiens ont un travail à côté de leurs études. Cela permet aux futur salariés de se former. Dans ma classe il y avait des étudiants de tous les âges, ce fut très enrichissant. Il est, à mon sens, plus productif d’étudier au Canada puisque cette sérénité qu’on ressent au quotidien nous met vraiment en disposition pour travailler efficacement.

[Claire-ange] Un petit conseil aux étudiants qui souhaitent tenter la même expérience ? 

[Amaïa] Partez ! Je pense que c’est le meilleur choix que j’ai pu faire jusqu’à présent. Il est certes difficile de partir, mais si vous pouvez partir n’hésitez pas car on a beaucoup à apprendre des autres cultures et des autres systèmes pédagogiques. J’ai tout fait moi-même, je n’ai reçu aucune aide de mes professeurs, c’était donc une grosse charge de travail mais je ne regrette rien. Sachez qu’il existe des cursus où l’on est plus encadré que d’autres donc l’expérience est assez accessible. 

Pour en savoir plus sur Amaïa rendez-vous sur sa page Linkedin

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Claire-ange, Novembre 2019

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