Les défis de l’orientation

Étudiants diplômés
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L’orientation post-bac est un choix difficile qui nous est imposé très tôt. Sophia répond ici à nos questions et nous raconte comment elle a fait pour s’orienter après son baccalauréat et comment elle envisageait l’avenir.
A travers cette interview, elle nous fait part de son expérience, de ses doutes, de ses questionnements mais aussi l’épanouissement qu’elle a ressenti lors de ses études supérieures, voici le parcours de Sophia :

 

Camille : Après le bac savais-tu déjà dans quel milieu tu allais te lancer ? Si oui, comment as-tu choisi ta licence ?

Sophia : Oui, je savais que je voulais travailler dans le milieu de la communication et la gestion en général .Mais c’était un peu vaste. Pour trouver ma future école j’ai regardé plusieurs formations dans le domaine de la communication, j’ai trouvé une formation qui me plaisait, j’ai candidaté et j’ai été prise dans ce premier choix. C’était une licence professionnelle gestion de structure artistique.

Camille : Est-ce que tu as eu l’impression d’avoir fait le bon choix universitaire pour ta licence ?

Sophia : Pour être honnête, au début non. J’avoue que la première semaine je pensais m’être complètement trompée, je n’y voyais pas d’intérêt. Mais c’est quelques semaines plus tard que j’ai trouvé un réel sens et intérêt à cette formation. Les professeurs étaient très intéressants, les cours aussi, nous faisions des sorties culturelles, je me suis vraiment retrouvée dans cette formation. J’ai passé une super année, socialement comme scolairement. Pour la petite anecdote, j’avais beaucoup de mal à me mettre au travail au lycée « rire » et c’est pendant cette licence que j’ai trouvé un intérêt aux études.

Camille : Après cette licence, comment voyais-tu l’avenir ?

Sophia : J’ai toujours voulu poursuivre mes études en master à Paris. C’était mon but, mais entre-temps j’avais besoin d’argent j’ai donc décidé de travailler, ça m’a aussi permis d’avoir une première expérience dans le monde professionnel. J’ai donc fait de l’aide à la scolarité dans une école primaire à Hyères. Maintenant j’ai commencé mon master et je suis très contente. J’ai hâte de voir la suite.

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Camille

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