Découvrez les secrets de la réussite professionnelle de François, élève de la première promotion du Master Humanités.
Après une licence LLCE (Langues, Littératures et Civilisations Étrangères) et une première année de Master MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Éducation et de la Formation) à l’Université de Nanterre, rien ne prédisposait François à une carrière dans la communication. Il fait pourtant partie des premiers à intégrer le Master Humanités et Industries Créatives parcours Communication et Promotion des Organisations et aujourd’hui, on peut dire qu’il représente un modèle de réussite pour tous les aspirants communicants, qui sauront apprécier ses conseils.
Conseil n°1 : Trouver sa voie
Licence d’anglais, Master MEEF puis Humanités et Industries Créatives : le parcours universitaire de François n’est pas le plus linéaire qui soit, mais il lui aura permis de trouver sa voie. De même, la diversité des entreprises dans lesquelles il a effectué des stages (Centre National d’Études Spatiales, BNP Paribas) ne fait pas de doute sur sa constante recherche d’expérimentation professionnelle « Pour trouver sa voie, il faut y aller à tâtons et essayer ». Cette démarche a aussi poussé François à accepter des CDD ou des contrats en intérim : « En sortant du Master, je bloquais sur les CDI, je ne voulais que ça. Au final, c’est aussi grâce à des expériences plus courtes que j’ai pu réaliser ce que je voulais mais surtout ce que je ne voulais pas. Et au final, après 4 mois en intérim chez Sycomore, ils m’ont proposé un CDI. »
Conseil n°2 : Faire marcher son réseau
Le conseil de François en cette période de recherche de stage? « Faire marcher à fond son réseau ! Ne pas se décourager et ne pas avoir peur des descriptions des postes : il ne faut pas oublier qu’en stage on est là pour apprendre ». Et par réseau, François entend outils numériques comme LinkedIn mais également sa famille, ses amis ou des connaissances, tous les moyens sont bons !
Conseil n°3 : Rester soi-même
De nature stressée, François m’explique que chacune de ses expériences professionnelles lui ont permis de se sentir de plus en plus à l’aise. « L’avantage quand tu es stressé, c’est que tu fais les choses bien, à cause de la pression que tu te mets. » Mais peu importe son environnement professionnel, François est toujours resté lui-même, et n’a jamais hésité à prendre des initiatives ! Par exemple, alors qu’il était encore en intérim, embêté par les mégots jetés par les employés de Sycomore, qui se veut la référence de l’investissement socialement responsable,François décide de faire installer des cendriers dont les mégots sont collectés, dépollués, recyclés puis transformés en nouveaux objets. Il fait ses calculs, contacte les fournisseurs, monte son dossier et le présente à la fondatrice et directrice du développement qui approuve son projet et lui donne le feu vert sur le budget. « Nous ne sommes pas nombreux chez Sycomore (une soixantaine ndlr), les process de validation sont très courts et les prises de décision sur les dossiers très rapides, ce qui permet d’avancer rapidement et efficacement sur nos projets.»